L’économie du Togo repose essentiellement sur la culture vivrière qui représente 65% des travailleurs. Le reste de la main-d’œuvre (30%) vit de la culture du cacao, du café, du coton mais surtout des mines de phosphates qui sont vitales au pays.
Le Togo est d’ailleurs le cinquième producteur mondial de phosphates.
À l’instar de nombreux pays africains (Sénégal, Île Maurice, Namibie), le Togo s’est doté d’une zone franche dès la fin des années 80.
Ainsi, dans cette zone sont implantés des sociétés pharmaceutiques, des fabricants d’huiles végétales, des assembleurs informatiques, des distributeurs de produits cosmétiques, des prothésistes dentaires ou des entreprises de transport routier etc…
Le port de Lomé, seul port en eau profonde de la sous-région, est donc une zone franche (Port franc) qui ne cesse de se développer rapidement et qui constitue une plaque tournante économiquement avantageuse pour ce pays et ses voisins.